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Bienvenue auGroupe scolaire Saint-Bénigne

Un peu d'histoire

Pour comprendre  le présent…

Arrivée des Filles de la Charité à Dijon, sous la demande de Monseigneur de Berbisey.
1791
Un décret impérial confirme la possibilité pour la Compagnie des Filles de la Charité de continuer son service.
1918
Création de l'Association "Aide à la Jeune Fille Laborieuse" pour la gestion de l'école.
1943
Loi Debré et premiers rapports avec l'État. Les sections "couture" et "ménagère" sont supprimées, et des contacts sont établis avec d'autres établissements.
1967
Ouverture à la mixité et spécialisation dans l'économique à tous les niveaux.
1981
Création du service "Educatif" et ouverture de la classe prépa H.E.C.
1994
Conventionnement du C.F.A. Saint-Bénigne par le Conseil Régional de Bourgogne.
2009
Nomination de M. Laffitte comme directeur du Groupe Saint-Bénigne.
2016
Nomination de M. Meyer au poste de Directeur général du Groupe Saint-Bénigne.
2021
1719
Les activités des Filles de la Charité sont perturbées par la Révolution, mais elles obtiennent la protection du Ministère des Cultes.
1909
Ouverture d'ateliers professionnels dans la Maison paroissiale Saint-Bénigne.
1930
Déclaration de l'école sous le nom "Ecole Technique et Ménagère Saint-Bénigne".
1960
Emménagement dans les locaux actuels, avec 810 élèves.
1968
Ouverture du Centre de Formation SB Formation dans les locaux du lycée privé Saint-Bénigne.
1991
Création du Centre de Formation d'Apprentis Saint-Bénigne.
1998
L'école Saint-Bénigne rue du Pommard rejoint le Groupe Saint-Bénigne.
2011
Ouverture du nouveau Collège rue de Nuit Saint Georges à Dijon, et emménagement de la Maîtrise dans de nouveaux locaux.
2018
Nomination de M. Bec au poste de Directeur général du Groupe Saint-Bénigne.
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Groupe scolaire - Dijon

Qui étaitSaint-Bénigne ?

Saint-Bénigne, apôtre de la Bourgogne, émerge de légendes transmises au fil des siècles. Selon la tradition, envoyé par saint Polycarpe de Smyrne avec deux compagnons, il aurait évangélisé la Gaule, fondant une Église fervente à Autun avant de poursuivre sa mission à Langres et à Dijon, convertissant des foules malgré les persécutions. Capturé et torturé sur l’ordre de Marc Aurèle, il aurait miraculeusement survécu à divers supplices. Son martyre aurait eu lieu en 178, mais sa dépouille aurait été préservée par ses disciples. La légende raconte également la reconstruction de sa crypte et la fondation d’une église en son honneur à Langres. Les détails de sa vie restent incertains, mais son culte persiste comme un symbole de la diffusion du christianisme en Bourgogne.

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